Poisson et oméga 3 contre dépression – Biblio
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Aliments contre dépression
Dans cette analyse d’un ensemble d’études, les auteurs déduisent que la consommation de poisson est associée à une baisse de risque de dépression avec un optimum de 1,8 g/j d’oméga 3 de poisson. Dietary n-3 PUFA, fish consumption and depression: A systematic review and meta-analysis of observational studies. Grosso G et coll., 2016. J Affect Disord. doi: 10.1016/j.jad.2016.08.011. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27544316
Au Japon, une alimentation caractérisée par une prise élevée de fruits et légumes, soja, pommes de terre, soja, champignons, algues et poisson est associée à une baisse de risque de suicide. Dietary patterns and suicide in Japanese adults: the Japan Public Health Center-based Prospective Study. Nanri A et coll., 2013. Br J Psychiatry. doi: 10.1192/bjp.bp.112.114793. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24115342
Dans ce suivi d’une population aux USA, la consommation de poisson est associée à une baisse de risque de dépression chez les hommes. Fish consumption and severely depressed mood, findings from the first national nutrition follow-up study. Li Y et coll., 2011. Psychiatry Res. doi: 10.1016/j.psychres.2011.05.012. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21628074
Dans cette population en Espagne, la consommation de poisson de 20 à 40 g par jour en moyenne, apportant de 0,5 à 1 g d’oméga-3 par jour, est associée à une baisse de risque de dépression. Seafood Consumption, Omega-3 Fatty Acids Intake, and Life-Time Prevalence of Depression in the PREDIMED-Plus Trial. Sánchez-Villegas A et coll., 2018. Nutrients, doi:10.3390/nu10122000. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30567286
Dans cette analyse d’un ensemble d’études, les auteurs concluent qu’une consommation élevée de poisson peut réduire le risque de dépression. Fish consumption and risk of depression: a meta-analysis. Li F et coll., 2015. J Epidemiol Community Health, doi:10.1136/jech-2015-206278. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26359502
Dans ce suivi d’une population féminine aux USA, la consommation d’oméga-3 de poissons et de poisson n’est pas associée au risque de dépression, à la différence de l’oméga-3 végétal ALA. Dietary intake of n-3 and n-6 fatty acids and the risk of clinical depression in women: a 10-y prospective follow-up study. Lucas M et coll, Am J Clin Nutr doi: 10.3945/ajcn.111.011817. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21471279
Juillet 2019 © Viviane de La Guéronnière